• Tu y crois toi

    tu le vois pas comment ça crève les yeux.

     


     

    Il est né de NOUS


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  • *


    condamnés,  
    ou pas ?

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  • Le réveil brutal dans le grand lit vide, le temps de se retrouver livide au milieu du désert sans draps, réaliser le silence autour de soi et le remplir de souvenirs comme écrire sur ton dos. Le reste à l'intérieur qui reste a se rappeler de.

    Rêver,

    Y croire

    Parler

    Pour voir

    De quoi ?

    Encore.

    Toucher

    La peau

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    Et trembler.

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    Ce soir tu seras dans mes bras et j'ai l'infini à te faire oublier.


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  • Et j'écris pour les chambres vides pleines de rêves où l'on voyage en souriant, tout doucement et l'air de rien. C'est l'univers entier dans le corps d'une baleine qui meurt, un microcosme à l'envers qui tourne comme un ressort. En vrac perce neige qui s'effleure comme un rien. Un tout petit rien pas si loin du tout. Il y a une boule de nerfs dans la tête et le bruit des branches de cartilage qui craquent. Se coucher enroulés dans le joint et se fumer à s'étouffer. Que personne ne nous voit, à nous.

    Les enfants terribles.


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    c'est toi qui est beau

    j'ai le reste à louper

    mais ça laisse le moi

    Encore un petit instant

    Pour pas oublier ton visage

    Alors laisse moi te regarder

    Parce que toi t'es beau

    Ouais beau comme le soleil

    Que l'on aime sans raison

    Parce que ça fait chaud

    Dedans et dehors

    Alors pour ta chaleur

    Moi je t'offre le monde

    Moi je t'offre mon monde

    Y a même pas de frontière

    Y a même pas de barrières

    Et quand tu me regardes

    Dans tes yeux l'adieu

    Ca veut dire à bientôt

    Et moi je construirais avec mes mains

    Des hôtels château de cartes

    Pour cacher ton sourire

    A tous les autres garçons

    Et même que je suis jaloux

    Du miroir qui te voit

    Ouais plus souvent que moi

    Et puis il y a la fois

    Ou tu m'as murmuré

    Oh ouais y a que toi

    Si peux dis le encore

    Que l'odeur de mon parfum

    Est la seule que tu sens

    Que la rigueur de mes mains

    Est la seule que tu supporte

    Dis moi que je suis le seul

    Et putain alors moi

    Alors moi

    Pour un instant, moi j'y crois.

    C'est comme la morsure

    De mes dents sur ton  dos

    C'est comme la brûlure

    De mes mains sur ta peau

    Et aussi parfois

    Dans tes silencieux refus

    Je me dit oui parfois

    Que t'es trop bien pour moi

    Et que si c'est pas vrai

    Alors c'est tant mieux

    Parce que je me vois pas

    Pas sans toi

    Et si par hasard tu passe de moi

    Dans ma méta-psychose

    Je mangerais à l'envers

    Et je te ferais croire

    A nos vers à damner

    Même que tu me boufferais

    On ferait comme t'as dit

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    S'il arrive pour de vrai

    Que tu viennes à manquer

    De raisons pour l'aimer

    Alors je me dirait

    Que j'ai toujours voulu ça

    Rien que toi et moi

    Alors putain fais ta valise

    Car tes grands yeux mouillés

    De larmes laisse moi

    Laisses moi les secher

    Laisse moi donc souffler

    Sur tes paupières fermés

    Aux étangs consumés

    Comme des puits sordides

    Ou l'on créverait de se noyer

    Et puis si tu veux bien, venir avec moi

    Alors j'inventerais des termes incensés

    Que toi seul comprendra

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    ORNITORIQUE MON AMOUR

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    (l)

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